
Comment évolue un engin spatial dans le champs gravitationnel d'une planète ?
Synthèse de Lucie Nadam
NADAM Lucie
avec COUPPOUSSAMY Célestine SERO Ruben
Série : Scientifique
Thème : Mesure
Couplage disciplinaire : mathématiques, physique-chimie
Sujet : La satellisation
Problématique : Comment évolue un engin spatial dans le champs gravitationnel d'une planète ?
Pendant mon année de 1ère scientifique, j’ai travaillé pour mes Travaux Personnels Encadrés, dans lesquels il faut choisir un thème, un sujet et une problématique à laquelle nous devons répondre; rendre une production finale par groupe et puis faire un oral pour présenter nos TPE (en groupe et individuellement).
Tout d'abord, lors de la première séance il a fallu choisir le couple de matières, il y avait : mathématiques/svt, mathématiques/physique-chimie, svt/physique-chimie et sport/svt, j'ai donc choisi mathématiques et physique-chimie, parce que ce sont des matières qui me plaisent mais aussi parce que je trouve que le lien à faire est plus simple.
Ensuite, je me suis mise avec COUPPOUSSAMY Célestine et SERO Ruben, qui sont dans ma classe depuis l'année dernière et qui sont d'après moi des élèves sérieux.
Nous avons décidé de choisir un sujet en rapport avec l'aéronautique. C'est un domaine dans lequel je n'avais pas beaucoup de connaissances, mais qui m'intéressait.
Puis, nous avons dû trouver un sujet plus précis ainsi qu'une problématique. Nous nous sommes rapidement concentrés sur la vitesse de libération, et en avons sorti comme problématique : Comment évolue une fusée dans le champs gravitationnel d'une planète ? Début février, après toutes nos recherches nous nous sommes rendus compte que notre sujet n'était pas assez global, nous avons donc opté pour la satellisation et changé la problématique : Comment évolue un engin spatial dans le champs gravitationnel d'une planète ?
Nous avons, par la suite, choisi de présenter notre production finale sous forme de site internet, afin de pouvoir y intégrer une animation geogebra et nous étions tous d'accord à ce sujet.
Nous nous sommes premièrement concentrés sur les recherches dans le but d'enrichir nos connaissances mais aussi pour pouvoir partager le sujet en trois grandes parties.
Dans un premier temps nous parlons de la vitesses au lancement, ensuite du décollage du lanceur pour satelliser et pour finir de la navigation dans l'espace.
De ma part, je me suis plus investie dans l'élaboration du site internet, Ruben, lui, a fait l'animation geogebra, et Célestine, qui a été un élément moteur dans le groupe, s'est concentrées dans la partie rédigée. Il y avait une très bonne cohésion de groupe.
Nous avons rencontré quelques difficultés lors de nos TPE. Au début nous ne savions pas vraiment sur quoi nous centrer, quelles parties faire, et puis après avoir trouvé les axes, nous avons réussi à avancer et rattraper notre retard.
Nous n'étions pas très bien organisés, cependant, nous avons réussi à surmonter les difficultés.
Afin de développer nos TPE, nous sommes allés au musée de l'air et de l'espace en Seine-Saint-Denis. Nous avons rencontré le responsable du planétarium qui nous a fait la visite du musée et que nous avons par la suite interviewé.
Pour conclure, de nos jours, beaucoup de pays envoient des engins spatiaux dans l'espace, il y a comme une «guerre de l'espace».
Pour lancer un engin spatial (comme une fusée par exemple), il faut tout d'abord quitter la Terre avec une vitesse suffisante afin qu'elle ne retombe pas. Ensuite nous pouvons mettre en orbite cet engin autour d'une planète ou d'un astre. Afin de quitter l'orbite, il faut avoir une vitesse minimale pour échapper à l'attraction gravitationnelle de l'astre, cette vitesse est appelée vitesse de libération (par exemple pour quitter l'orbite de la Terre la vitesse de libération est de 11km/s).
Les trajectoires d'une fusée sont élaborées par des scientifiques, de façon à se placer sur la bonne orbite, car dans l'espace il est difficile d'en changer.
Ces travaux personnels encadrés m'ont permis d'approfondir mes connaissances dans ce domaine, d'être plus autonome mais aussi de mieux m'investir dans un travail de groupe.